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Texte de Nikos Maziotis pour Georges Abdallah
Texte de Nikos Maziotis, membre de la Lutte Révolutionnaire pour Georges Ibrahim Abdallah
Intemporellement, point de référence particulier des luttes pour la libération humaine de la tyrannie, des chaînes du capitalisme, de l' impérialisme et de l' état, sont les camarades qui ont donnés leur vie dans cette lutte ainsi que les prisonniers captifs qui n' ont pas craqué, qui n' ont pas repentis et n' ont pas renié leur lutte et leurs actions. En particulier ceux qui ayant choisi la lutte armée, malgré les longues années qu' ils ont passé en prison, en détention spéciale et isolement, ils ont tenu haut le drapeau de la lutte. Un de ces camarades est Georges Ibrahim Abdallah qui était membre des Fractions Armées Révolutionnaires Libanaises et se trouve dans les prisons françaises depuis 1984, déjà dans sa 31éme année de détention.
Même s' il a achevée sa peine de sûreté et est éligible à une libération conditionnelle, les autorités françaises, par suite des interventions continues des États-Unis, refusent de le libérer.
Les camarades qui sont tombés dans la lutte et les révolutionnaires emprisonnés comme le camarade Abdallah, ils sont les drapeaux de notre lutte contre le pouvoir du capitalisme, de l'impérialisme et de l'état. Ils sont eux qui donnent le brillant exemple des militants qui restent debout devant le prix et le coût.
Puisque on ne peut pas exhorter les peuples à se lever et se révolter contre le capitalisme et risquer le prix de la mort et la réclusion à long terme, si nous-mêmes ne pouvons pas tenir le coût de la lutte. Si nous ne prenons pas la responsabilité de nos actes, de notre participation à la lutte.
Les prisonniers captifs de la guerre sociale et de la guerre des classes, les camarades qui sont tombés dans la lutte sont les drapeaux de la révolution et qui les oublie, oublie la guerre elle-même.
Nikos Maziotis, membre de la Lutte Révolutionnaire
Prison de Domokos
(Traduction du texte grec)